Taramea Huira'atira - 1er avril = Orgasme
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02042011
Taramea Huira'atira - 1er avril = Orgasme
Ils sont optimistes sur le nombre de participants, 40-50 : Ils ont du compter les RG dedans pour grossir le chiffre.
Bref, ça ne valait pas le coup que je me rende malade ... mais difficile de le savoir avant.
Je ne suis pas un adepte de la dissonance cognitive donc je dis que c'est un échec cinglant.
Comme tous les échecs il est très instructif mais ouvre la porte à toutes les interprétations possibles, foireuses incluses.
Trois choses me viennent :
En fait la Polynésie cherche la voie vers la sortie.
Nous sommes une bande de quelques piri-piri parmi d'autres bandes qui commencent à bouger aussi de leur côté.
C'est sans chef, il ne faut surtout pas qu'il y en ait un.
Une graine ne donne pas un arbre en 24 heures. On y arrivera, forcément puisqu'ils ne savent pas faire autre chose qu'exaspérer le monde, ils sont les meilleurs VRP de leur propre perte.
Au niveau du prétexte du jour je subodore que Flosse a prêté la Galenon à Oscar depuis quelques semaines et que les choses ont été arrangées ainsi de façon à ce que son "détachement" du parti orange avant son ralliement au camp d'en-face permette à ce dernier de "passer en face" sans être inquiété dans son entreprise de sabotage continu de tout ce qui pourrait être fait sans lui : Avoir un pied de chaque côté est la façon la plus efficace de tirer toutes les ficelles (et le fric) en enfumant tout le monde, d'autant plus facilement vu le quotient intellectuel des "troupes" (p.ex. OT : "J'aurais besoin du soutien de tout le monde et notamment de la population" (sic !!). C'est qui "tout le monde" quand on enlève la population ?)
Que le pays entier en continue sa descente aux enfers n'a pas plus d'importance que précédemment puisque ça n'interfère pas avec ce qu'ils peuvent parasiter pour eux. Je dirais même que c'est un bon prétexte qui permettra d'aller pleurer pour du-moni-en-extra "pour redresser le pays", gonfler leurs poches d'abord ...
Je peux me tromper mais ça y ressemble : Il y a comme un petit quelque chose entre le Noa passé et la Galenon présente, vous ne trouvez pas ? Aucune importance de toute façon : Tant qu'il y aura ces 3e tours à répétition et tant que les voleurs et bandits ne seront pas en prison pour de bon ça restera pareil. Ils sont tous responsables, en premier chef ceux qui permettent à ce bordel de continuer, Paris.
Soit la Polynésie, à travers nous et les autres, tous les autres, arrive à trouver comment les foutre enfin dehors, avec ou contre Paris, soit l'enfer sera de plus en plus chaud pour tous sauf eux.
Cherchons encore.
Bref, ça ne valait pas le coup que je me rende malade ... mais difficile de le savoir avant.
Je ne suis pas un adepte de la dissonance cognitive donc je dis que c'est un échec cinglant.
Comme tous les échecs il est très instructif mais ouvre la porte à toutes les interprétations possibles, foireuses incluses.
Trois choses me viennent :
- Le petit groupe que nous formons s'est monté la tête en tournant trop dans sa bulle à lui.
- 97 % des gens en ont marre au point que l'APF n'a pas d'intérêt pour eux quoi qu'il puisse s'y passer.
- Papeete n'est pas tout le Fenua, c'est loin, la vie est ailleurs.
En fait la Polynésie cherche la voie vers la sortie.
Nous sommes une bande de quelques piri-piri parmi d'autres bandes qui commencent à bouger aussi de leur côté.
C'est sans chef, il ne faut surtout pas qu'il y en ait un.
Une graine ne donne pas un arbre en 24 heures. On y arrivera, forcément puisqu'ils ne savent pas faire autre chose qu'exaspérer le monde, ils sont les meilleurs VRP de leur propre perte.
Au niveau du prétexte du jour je subodore que Flosse a prêté la Galenon à Oscar depuis quelques semaines et que les choses ont été arrangées ainsi de façon à ce que son "détachement" du parti orange avant son ralliement au camp d'en-face permette à ce dernier de "passer en face" sans être inquiété dans son entreprise de sabotage continu de tout ce qui pourrait être fait sans lui : Avoir un pied de chaque côté est la façon la plus efficace de tirer toutes les ficelles (et le fric) en enfumant tout le monde, d'autant plus facilement vu le quotient intellectuel des "troupes" (p.ex. OT : "J'aurais besoin du soutien de tout le monde et notamment de la population" (sic !!). C'est qui "tout le monde" quand on enlève la population ?)
Que le pays entier en continue sa descente aux enfers n'a pas plus d'importance que précédemment puisque ça n'interfère pas avec ce qu'ils peuvent parasiter pour eux. Je dirais même que c'est un bon prétexte qui permettra d'aller pleurer pour du-moni-en-extra "pour redresser le pays", gonfler leurs poches d'abord ...
Je peux me tromper mais ça y ressemble : Il y a comme un petit quelque chose entre le Noa passé et la Galenon présente, vous ne trouvez pas ? Aucune importance de toute façon : Tant qu'il y aura ces 3e tours à répétition et tant que les voleurs et bandits ne seront pas en prison pour de bon ça restera pareil. Ils sont tous responsables, en premier chef ceux qui permettent à ce bordel de continuer, Paris.
Soit la Polynésie, à travers nous et les autres, tous les autres, arrive à trouver comment les foutre enfin dehors, avec ou contre Paris, soit l'enfer sera de plus en plus chaud pour tous sauf eux.
Cherchons encore.
Tous dehors !
Dernière édition par Mimi mato le Mar 3 Mai - 8:36:30, édité 1 fois
Mimi mato- Messages : 292
Date d'inscription : 21/04/2010
Taramea Huira'atira - 1er avril = Orgasme :: Commentaires
Re: Taramea Huira'atira - 1er avril = Orgasme
La Polynésie civile cherche la voie vers la sortie
Toute recherche demande du temps
Le Fenua vu par le 3e tour (allégorie)
Toute recherche demande du temps
Le Fenua vu par le 3e tour (allégorie)
Je ne sais pas vous mais le nombre de gens en plein désarroi devant le monstre qui occupe l'APF est très grand autour de moi.
L'évidence qui vient aux yeux face à n'importe quel problème à affronter collectivement maintenant est que nous sommes seuls, absolument seuls, que les politiques et les administrations sont quasiment toujours dans "le camp d'en face" soit pour détruire à cause de l'ombre que ça leur porte, soit pour pervertir de façon à en tirer du fric à eux seuls. L'adage qui prime est "C'est toujours le plus emmerdé qui bouge", une loi naturelle quasiment aussi solide que celle de la pesanteur, à se demander à quoi ça sert de vivre en société, à quoi servent les administrations et les politiques.
Quelle attitude adopter, quelles actions à rechercher face à ça ?
Puisque les politiques et les administrations nous forcent à les considérer comme des ennemis systématiques, il nous faut non seulement chercher à faire sans eux mais aussi à faire contre eux ... et surtout pas frontalement.
Il existe plusieurs groupes aux environs du nôtre. Celui des employeurs en est un, il est le seul à avoir un poids économique. Il a sa démarche pour atteindre son but, le même que celui de tous.
Nous ne nous en sortirons pas chacun de notre côté même si ce serait intellectuellement plus "confortable" à courte vue. Nous devons avoir comme réflexe prioritaire de nous soutenir les uns les autres plutôt que de nous dénigrer même si "l'enfer c'est les autres". Nous soutenir n'empêche pas la critique tant qu'elle est constructive. Nous soutenir nous aide tous : Le premier qui trouve une solution viable fera gagner tous les autres, tout le monde.
Je ne crois pas aux grandes théories, elles ont toutes montré leurs limites, prouvé leur irréalisme par du sang inutile, du temps perdu.
Je crois plus à la théorie des petits pas, des essais-erreurs, de St Thomas : Personne n'a changé le monde à lui tout seul, jamais.
Il nous faut expérimenter à petite échelle, monter des choses utiles à tous tant dans l'apport de petites solutions (small is beautiful) à nos grands problèmes que dans les méthodes de refus contre ce qui est imposé par nos parasites sociaux. Il faut le faire savoir chaque fois qu'on a un résultat. Nous devons tout reconstruire sans eux. Nous devons inventer de nouveaux réseaux de coordination. Nous devons sortir de leur circuit pour avoir une chance de résoudre nos problèmes collectifs, réveiller les associations entre voisins, les actions directes "sur le terrain", la collaboration directe avec les entreprises, l'élimination des "coordinateurs" qui se transforment toujours en taramea et leur remplacement par une circulation directe des informations, au coup par coup. De la démocratie directe en somme.
Comme ça chacun garde toute son initiative, toute sa créativité, tout son libre arbitre, tout son culot, tout son sens critique et surtout toute son indépendance (ou son autonomie pour ceux qui préfèrent ) :
Pas de théorie et pas de metua, seuls les résultats comptent, seule l'entraide compte puisque nous avons tous le même but.
C'est difficile mais je ne les vois pas nous laisser une autre route viable.
TOUS DEHORS !
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