Jean-Max Brua - J'y pense parfois ... n'en parlons plus
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06052010
Jean-Max Brua - J'y pense parfois ... n'en parlons plus
J'y pense parfois ... n'en parlons plus
Jean-Max Brua - 1971
Ne reste pas dans mon chemin.
La fille qui me tient par la main
N'a pas de corde à mon poignet.
Elle n'a jamais fermé, jamais,
La cage aux barreaux de bras.
Elle n'a jamais montré, jamais,
Nos mains en disant "j'y crois".
Notre temps, dis, c'était pour quoi ?
J'y pense parfois ... n'en parlons plus.
Ne te promène pas dans les saules.
La fille qui me tient par l'épaule
N'a pas mis de sac à mon dos.
Elle n'a jamais compté, jamais,
Le poids du temps de la tendresse.
Elle n'a jamais montré, jamais,
Nos frères en me disant "laisse".
Notre temps, dis, c'était pour quoi ?
J'y pense parfois ... n'en parlons plus.
Ne reste pas dans mon chagrin,
La fille qui réchauffe mes reins,
Elle ne demande pas de mots.
Elle n'a jamais fermé, jamais,
Ma porte à la bonne aventure.
Elle n'a jamais montré, jamais,
L'étoile en me disant "jure".
Notre temps, dis, c'était pour quoi ?
J'y pense parfois ... n'en parlons plus.
Regarde les pierres du chemin,
Nos frères s'y tordent les pieds.
Je ne pouvais garder ta main
Parmi nos frères, les mal-aimés.
La fille qui me tient par les doigts,
Elle ne souris pas que pour moi.
Nous n'étions pas du même bois,
J'y pense parfois ... n'en parlons plus.
Jean-Max Brua - 1971
Ne reste pas dans mon chemin.
La fille qui me tient par la main
N'a pas de corde à mon poignet.
Elle n'a jamais fermé, jamais,
La cage aux barreaux de bras.
Elle n'a jamais montré, jamais,
Nos mains en disant "j'y crois".
Notre temps, dis, c'était pour quoi ?
J'y pense parfois ... n'en parlons plus.
Ne te promène pas dans les saules.
La fille qui me tient par l'épaule
N'a pas mis de sac à mon dos.
Elle n'a jamais compté, jamais,
Le poids du temps de la tendresse.
Elle n'a jamais montré, jamais,
Nos frères en me disant "laisse".
Notre temps, dis, c'était pour quoi ?
J'y pense parfois ... n'en parlons plus.
Ne reste pas dans mon chagrin,
La fille qui réchauffe mes reins,
Elle ne demande pas de mots.
Elle n'a jamais fermé, jamais,
Ma porte à la bonne aventure.
Elle n'a jamais montré, jamais,
L'étoile en me disant "jure".
Notre temps, dis, c'était pour quoi ?
J'y pense parfois ... n'en parlons plus.
Regarde les pierres du chemin,
Nos frères s'y tordent les pieds.
Je ne pouvais garder ta main
Parmi nos frères, les mal-aimés.
La fille qui me tient par les doigts,
Elle ne souris pas que pour moi.
Nous n'étions pas du même bois,
J'y pense parfois ... n'en parlons plus.
Mimi mato- Messages : 292
Date d'inscription : 21/04/2010
Jean-Max Brua - J'y pense parfois ... n'en parlons plus :: Commentaires
Re: Jean-Max Brua - J'y pense parfois ... n'en parlons plus
Tu vois, chérie, même si la soupe politiquement correcte dans laquelle tous les médias cherchent à nous noyer depuis des décennies veut faire croire le contraire, même si ce discours officiel lénifiant est finalement intériorisé jusqu'à remplacer toute morale humaine par le gros de la masse qui nous entoure, nous ne sommes ni les premiers, ni les derniers, à vivre cette histoire-là :
Le pito n'est pas l'unique éthique personnelle possible.
La liberté s'accorde parfaitement avec bien plus que le respect des autres
et la fidélité aussi.
Médite-le bien ... si tu le peux.
Le pito n'est pas l'unique éthique personnelle possible.
La liberté s'accorde parfaitement avec bien plus que le respect des autres
et la fidélité aussi.
Médite-le bien ... si tu le peux.
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