Elle s'est subdivisée en de nombreuses tendances atomiques-périphériques dont l'effectif, comme dit souvent par ailleurs, entre entièrement dans une cabine téléphonique, parfois deux, rarement plus.

Leurs démarches prétendument politiques ne s'articulent pas sur le statut du fenua, ou rarement, pas plus que sur la cohérence entre leur discours publics et leurs actes, évidemment.
Ils changent donc de bord strictement sans aucun état d'âme et aussi souvent que leur intérêt personnel le nécessite ou que leur véritable maître, un des puissants du TH, le leur demande ou leur accorde sur leurs chantages.

Leur revendication officielle s'auto-justifie toujours par une soi-disante défense des "justice", "propreté", "équité", etc. Ceci alors qu'ils sont la plupart du temps inculpés et/ou muliti-récidivistes condamnés pour des affaires de corruption ou de détournements.

Leur véritable démarche peut se résumer en l'exigence de la place la mieux payée et la plus agréable pour eux afin de tripatouiller confortablement les affaires des autres.

Leurs prétentions sont souvent plus modestes que ceux s'appuyant sur la théologie statutaire du fenua. Ils font donc un peu parler d'eux tant qu'ils ne sont pas arrivés à leur fins, ensuite, une fois la sucette acquise, silence.


Leur façon de faire est la même que celle de tout le vrai TH telle que décrite dans le Manuel utilisateur de Polititanetia.

Certains se sont constitués en groupes d'influence structurée, d'autres restent requins solitaires et affichent médiatiquement leurs prétentions en toute clarté.

La moins petite des composantes de cette tendance giratoire est le Taramea Hau Tahi (TH-T) :


Elle est suivie par le Fiesta Api dont je n'ai pas trouvé de logo (désolé)

et par le No Oe E Taramea Oe :


Ces trois derniers ont fait, un temps, illusion en réussissant à drainer vers eux une bonne partie des électeurs assoiffés de justice élémentaire et de vraie démocratie ayant cru leurs baratins mais ceci a eu lieu en dehors de périodes d'élection puis le naturel leur est revenu au galop ...

Il en existe bien d'autres puisque le nombre de partis politiques officiels voisine la quarantaine pour 260.000 habitants, donc tous atteints du syndrome de la cabine téléphonique dont beaucoup de télécommandés par les majors car il est toujours plus efficace de fabriquer et piloter un pseudo-ennemi que d'en affronter un vrai. C'est la technique commerciale d'occupation du marché en quelque sorte, technique ouvertement utilisée par le groupe Hersant avec nos médias "papier" comme chacun le sait.